Tony les deux poings

Prénom : Antonio

Nom de Famille : De Luca

Surnoms que ses proches lui donnent : Tony

Pseudo sous lequel elle est connu : Tony les deux poings.

sexe : Monsieur

Race : Humain

Âge véritable (l'âge exacte de tous en nombre d'années) : Il a vieillit, il est mort, apparemment il n’en a plus.

Âge apparent (pour les immortels et les races non humaines) : Un homme adulte.

Allignement : Nocif pour lui-même et éventuellement pour les autres.

Nationalité : Américain

Statut : Célibataire.

Pouvoir (s) : Il n’en a qu’un mais ne le sait pas. Bouleversé par son changement de vie soudain, il n’a jamais fait le deuil de son autre lui. Sans s’en rendre compte alors il récupère son apparence d’origine, parfois. En fonction de son humeur, seulement ne sachant plus vraiment qui il est il se voit différent chaque fois qu’il se voit dans une glace.

Capacité : Il est très serviable dès qu’on s’en fait un ami il veut aider, peu être même… trop.

Famille : Il l’a trahit La Famille

Description Physique : A mettre a jour

Caractère : Trop souvent saoul pour le dire. Quand il ne l’est pas, il est rongé par ses souvenirs, ses remords, ses actes le rattrapent, il est donc très pensif.
Il est assez impulsif, violent il résout le plus souvent ses soucis en se battant, quand il tiens sur ses jambes.

Savoir : Extorsion de fonds, grand banditisme en général.

Talent : Manipulateur, Il sait faire peur et intimidé, enfin il a su en tout cas.

Armes : Ses poings.

Passé du Personnage :

Des spaghettis, de la sauce tomate
Dans la banlieue nord de Dijon
J'ai choisi la voie diplomate
Qui m'a évité la prison

Ça fait 20 ans que je me cache
Et je pensais vivre bien moins
Le FBI remplit sa tache :
La protection d'un témoin

J'aurais bien pu casser des pierres
Au pénitencier du Texas
Mais je me finis à la bière
Dans un PMU bien moins classe

Tous les soirs on remplit mon verre
Et on rigole, on me salit
Quand je raconte mes tours de verre
Ma vie à Little Italy

Mafioso jusqu'au bout des ongles
Je suis devenu le pochtron du coin
Quand les hommes de main de mon oncle
Recherchent Tony-les-deux-poings

Dans les premiers mois de ma planque
J'ai cru que ma vie serait la même
En recréant ce qui me manque
De ma Sicile américaine

J'ai aidé quelques connaissances
Dans leurs querelles de voisinage
Deux trois corps imbibés d'essence
Quelques accidents de ménage

Quand mes petits voisins, des frères et soeurs
Me montraient leur carnet de notes
Je rencontrais leur professeur
Et prélevais quelques quenottes

Mais aujourd'hui je suis trop vieux
Je m'occupe de mes hortensias
C'est étrange comme ils poussent mieux
Qu'ai-je bien pu donc enterrer là ?

Dans les fourrés, quelque chose bouge
J'aperçois l'ombre d'un sniper
Sur ma poitrine, une lumière rouge
Je t'attendais… je n'ai pas peur…

*Pan*

Qu'on m'allonge sur mon lit
Sur mon coeur une fleur d'hortensia
Je vais revoir le Stromboli
Je vais oublier la Mafia

Repenti
J'ai trahi…


Gouts : Il est bien impossible de savoir aucun de ces gouts

Tic (s) : Aucun, éventuellement un hoquet quand il a trop bu.

Possession(s) : Ce qu’il porte sur son dos et la fleur qu’il a emporté sur soit lors de sa mort, qui ne fane pas.

Lieu de vie : Il rode, s’il n’est pas dans un bar.

Signe(s) Particulier(s) : Une plaie suintante en dessous de la fleur d’hortensia et des vêtements, au niveau du cœur. Visiblement l’impact d’une balle qui n’a jamais voulu arrêter de saigner.

Espoir dans le futur : Oublier.